Le taux de sous-nutrition au Bangladesh est l’un des plus
élevés. La sous-nutrition contribue à près de la moitié de la mortalité
infantile. Plus de 500 000 enfants de moins de 5 ans souffrent de
sous-nutrition aiguë sévère.
Les pratiques d’alimentation des enfants, un allaitement insuffisant, le manque de diversité alimentaire, la santé mentale et l’état nutritionnel des mères, l’insécurité alimentaire et la grande pauvreté (56 millions de personnes sont qualifiées d’ « absolument pauvres ») constituent les principaux facteurs de sous-nutrition.
La santé publique est également menacée par la qualité de l’eau, le manque d’hygiène, de latrines et de puits sains.
Le pays est aussi exposé à des catastrophes naturelles récurrentes, appelées à augmenter en sévérité et fréquence avec le réchauffement climatique, qui aggravent l’insécurité alimentaire.
Les pratiques d’alimentation des enfants, un allaitement insuffisant, le manque de diversité alimentaire, la santé mentale et l’état nutritionnel des mères, l’insécurité alimentaire et la grande pauvreté (56 millions de personnes sont qualifiées d’ « absolument pauvres ») constituent les principaux facteurs de sous-nutrition.
La santé publique est également menacée par la qualité de l’eau, le manque d’hygiène, de latrines et de puits sains.
Le pays est aussi exposé à des catastrophes naturelles récurrentes, appelées à augmenter en sévérité et fréquence avec le réchauffement climatique, qui aggravent l’insécurité alimentaire.
Présente dans le pays depuis 2007, ACF mène au
Bangladesh des programmes en nutrition, sécurité alimentaire, santé mentale,
ainsi que dans le domaine de l’accès à l’eau, l’assainissement et
l’hygiène. Elle travaille également sur la réduction de l’impact des
catastrophes naturelles sur les populations vulnérables.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire