Changements climatiques et
Faim monde
C’est en Asie que l’on
trouve le plus grand nombre de personnes qui souffrent de la faim(642 millions
de personnes).
Situé
entre l’Inde et la Birmanie, sur le plus grand delta du monde (le Gange), le
Bangladesh est l’un des pays les plus pauvres au monde. Inondations et cyclones
détruisent régulièrement tout sur leur passage. 500.000 enfants de moins de 5
ans souffrent de sous-nutrition aiguëAu Bangladesh, survivre avec le changement climatique
REPORTAGE. Dans le district de Padmapukur, situé à quelques dizaines de kilomètres du golfe du Bengale, les cabanes en tôle tiennent en équilibre sur des lambeaux de terre sortant des eaux, comme des embarcations de fortune perdues au milieu de l'océan. Seuls les enfants, les femmes, les vieillards et les estropiés vivent encore dans des maisons dispersées le long de rizières en sursis. Dans cette région menacée par les inondations et les cyclones, les hommes sont partis chercher du travail ailleurs. Il n'y a pas même de bois pour cuire une galette de pain. Des commerçants sur des barques, chargées de produits de première nécessité, viennent approvisionner les villageois.
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Le Bangladesh en tête de liste des pays victimes de la
montée des eaux
(Opinion Internationale)
Maplecroft, cabinet de recherche spécialisé
dans l’aide aux investisseurs, vient de publier sa dernière étude. Les
résultats sont alarmants : le Bangladesh est le pays le plus vulnérable face
aux bouleversements climatiques, devant l’Inde et Madagascar. Avec une
élévation d’un mètre du niveau de la mer d’ici la fin du siècle, 35 millions de
personnes seront déplacées. Le pays pourrait perdre 20 % de ses terres
d’ici 2050. Portrait d’une nation en danger. Lire la suite
Bangladesh : méfiez-vous de l’eau qui dort…(Arte)
Dans ce petit pays du golfe du
Bengale l’eau est omniprésente. Une richesse dont de nombreux pays arides
pourraient être jaloux. Pourtant l’or bleu au Bangladesh n’est pas
nécessairement synonyme de survie et développement, bien au contraire. Ici, on
sait mieux qu’ailleurs que les caprices de l’eau peuvent avoir des
conséquences dramatiques.
Le Bangladesh, dernier atelier de la misère
(Libération/ 14 mai 2013)
Salaires indignes, syndicats inexistants, le pays est en bout de chaîne des délocalisations. Après les effondrements meurtriers dans l'industrie textile, les ONG espèrent une prise de conscience.
Par ELODIE CABRERA
Bangladesh : des centaines d'usines fermées à partir de mardi
( Le parisien /13 mai 2013)
Un effondrement faisant plus
d'un millier de morts et un incendie à quelques jours d'intervalle, c'en est
trop pour les ouvriers des usines textiles du Bangladesh.
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